
Samedi dernier avait lieu la seconde édition du Spring’Alp Festival. Se tenant au Palais des Sports de Grenoble, on vous détaille le résumé de cette soirée.
Nous sommes arrivés aux alentours de 22h. La file d’attente était déjà très occupée mais nous n’avons pas attendu longtemps avant de pouvoir rentrer. Le Palais des sports de Grenoble permettait largement d’accueillir les 4 000 festivaliers attendus pour l’occasion. Une fois dedans, il était très facile de circuler dans la fosse. A cette heure, se produisait le duo mythique Synapson. Un set chill et une ambiance good vibes tournés autour de leur Deep House et de leurs célèbres sons comme « Djon Maya Maï » ou « Soro te karaba« . DJ Pone a ensuite pris place pour un set très varié Hip Hop et sonorités à la fois épiques et entrainantes. Première fois que nous voyons l’artiste sur scène et ce fut une très belle découverte. Petit passage par le bar et par les foods trucks pour se ravitailler en attendant la tête d’affiche de la soirée.

Nous nous sommes installés tout devant pour celle-ci. La tempête a débarqué sur scène avec un public qui n’attendait que ça. Vladimir Cauchemar a démarré avec sa récente collaboration « RIP » avec Apashe, faisant des ravages. Il a enchaîné bangers sur bangers, variant Bass House et Rap comme avec son titre « Elévations » avec Vald où il n’a pas manqué de jouer le célèbre remix de Basstrick. De nombreux pogos ont été lancés avec le public, qui était d’ailleurs en forme et très bon enfant. Un show démentiel couplé par des lights très appréciables et des cuves à CO2. La fin de son set s’est marquée par des hits très connus comme « Aulos Reoladed » (en version instrumentale puis rap), « Satisfaction » de Benny Bennassi ou encore « Turn Down For What » de DJ SNAKE.

Le petit bijou de la house mélodique Etienne de Crécy a pris la suite pour 2h de folie. Il a fourni un set électrique avec de nombreuses tracks Technos et Electro House provenant de ses différents albums et EPs. En passant par « Binary « de son superbe album Beats’N’Cubes à des sons plus récents comme « Hours« , le producteur français a su faire transcender le public qui a répondu présent.
Pour clôturer dans le plus grand calme, la bête The Bloody Beetroots est venue tout ravager pour un set de malade. Le public était totalement déchaîné à chaque son Electro-punk du producteur italien. Jouant ses sons à lui mais également des sons plus connus comme « Hot Drum » de Joyryde, les pogos s’enchaînaient. Bref un set complètement renversant, parfait pour ponctuer la deuxième édition du festival grenoblois.
