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Notre équipe s’est déplacée à l’Inox Club Toulouse, samedi 6 février, pour passer une grosse soirée hardcore/hardtechno ! Un évènement avec une programmation de folie, organisé par un label qui ne nous a jamais déçu, dans un lieu que l’on connait parfaitement… Aucune raison de louper ça !

Je tiens à mettre en avant l’organisation, car il s’agit de Karnage Records, le célèbre label hardcore créé par Thanos en 1998 (voir interview de Thanos ICI). Organisatrice d’énormes soirées dans la région comme les différentes Koalition.. Cette équipe a toujours programmé des évènements de grande qualité. Je ne m’attarde pas plus dessus, vous en saurez plus sur l’histoire et la vision de Karnage Records prochainement, restez connectés…

Le lieu est habituel pour ce type de soirée, mais toujours autant apprécié. Equipé de « Funktion One », l’Inox Club est un endroit apprécié des « teufeurs ». Du côté de l’alcool, les prix sont plus que raisonnables pour une boite de nuit ! Sa grande terrasse à l’extérieur ravit également les fumeurs, ou tous ceux qui ont besoin de souffler un peu. Alors que l’Inox est la salle principale, la seconde salle « backstage » est, elle aussi, ouverte pour la Fury.

Nous voila donc arrivés sur le parking, plus motivés que jamais, vers 23h passés ! Flyers dans une main, bière dans l’autre, nous avons eu le plaisir de croiser Darktek et Suburbass avant même de mettre un pied dans la boîte. En suivant, nous rentrons pour voir jouer le premier DJ de la soirée dans la backstage : Lockdown ! Fidèle à lui-même, le jeune Toulousain nous offre une performance d’Hardcore-Mainstream. Une fois son set fini, direction la salle principale pour goûter à la hardtek de Weser, membre de Narkotek. Déchainé aux platines, il annonce la couleur de la soirée… Ca va taper du pied ! On quitte sa scène pour jongler un peu entre les deux salles, car le patron de Karnage Thanos joue aux côtés de son partenaire habituel Snotrocket ! Allant le saluer pendant son set, Thanos nous glisse à l’oreille que leur matériel les a laché et que tout doit se faire manuellement sur l’ordi portable… Une belle galère ! Pas la première de leurs carrières, le duo a su garder un rythme élevé, pour le plus grand bonheur des nombreuses personnes présentes devant les caissons.

Foule article

La boîte est blindée, avec environ 2 000 personnes ! Nous nous posons quelques minutes en coulisses, pour discuter avec certains artistes. A retenir la sympathie des artistes, simples et ouverts, malgré leurs grandes notoriétés. On peut entre autres citer Vandal, Darktek ou Radium. C’est d’ailleurs au tour de Darktek de monter sur scène ! C’est drôle, c’est entrainant… Du Darktek quoi, de quoi donner la patate et envie de profiter toute la nuit. De la hardtek, on passe à la raggatek avec Vandal ! Le sourire aux lèvres, le Gallois semble autant profiter que nous. Petite mention spéciale pour « Super Tekno Shooter » que nous adorons, et qu’on a pu entendre avec une vue globale du public déchainé (promis, on vous partagera la vidéo !). Quelques minutes plus tard, le BPM augmente encore, et la violence des kicks s’accentuent. Le pionner de la Frenchcore Radium prend place aux platines ! On ne le présente plus, on peut juste vous dire qu’il a encore été à la hauteur, comme toutes ces dernières années passées. Alors qu’il doit laisser sa place à Igneon System, nous nous rendons compte que le Belge n’est toujours pas arrivé… Annoncé en retard de quelques dizaines de minutes, c’est The Clamps (qui mixait dans la petite salle juste avant) qui jouera le temps qu’il arrive. Tout rentre ensuite dans l’ordre, et Igneon System nous sort un live d’une extrème violence.

Innominate article

Il jouera également des nouveaux sons qu’il a produit sous le nom Innominate, avec son ami I:Gor. Il laisse d’ailleurs sa place au Polonais en suivant, qui sortira des tracks aussi violentes que son prédécesseur. En closing, c’est au tour de Richie Gee. Après quelques minutes devant les caissons, nous partons finalement vers 7h du matin. Juste avant, nous avons réussi à obtenir un accord pour des interviews de Radium et Innominate (donc Igneon System & I:Gor), qui arriveront prochainement. Une soirée pleine, et au top du début à la fin. Une de plus !

Nous tenons à remercier Céline, Etienne et toute l’équipe de Karnage Records pour leur confiance, ainsi que pour cette soirée de malade. Big Up également aux artistes qui ont fait preuve d’une sympathie incroyablement naturelle. Un article regroupant toutes nos vidéos de la Fury #1 sera publié parallèllement. Si vous voulez suivre les prochaines soirées organisées par Karnage Records, sachez que se dérouleront bientôt la Koalition Paris, Koalition Espagne et The Lost Island ! A très très bientôt !

Crédit photo : Christelle D. Photographe

Pour conclure notre reportage, retrouvez l’aftermovie de la Fury #1 ci-dessous :

By Valso

One thought on “On y était : Fury #1 par Karnage !”

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