Bienvenue à Paradise City, où une électro éclectique règne ! Nous y étions ce samedi 1er juillet et nous avons vécu une expérience unique ! Situé à Perk, en Belgique, à quelques kilomètres de Bruxelles, le festival propose un cadre incroyable, dans lequel les scènes sont réparties autour du château de Ribeaucourt !
Un endroit magnifique au charme irrésistible !
Dès notre arrivée, nous sommes éblouis par le lieu enchanteur du Paradise City Festival. 6 scènes entourent le somptueux château de Ribeaucourt ce qui décuple le charme de l’emplacement. Nous débutons alors notre visite des différentes stages et on admire le travail délicat des organisateurs.
La scène Live accueillera donc des groupes et autres artistes présentant un show travaillé tandis que les 5 autres proposent des Dj sets. La première est faite de tuyaux oranges et ressemblent à un échafaudage, tandis que la suivante est un chalet déconstruit. La mainstage est prend place devant le château et parait simpliste : une armature recouverte de draps blancs reflétant les effets lumineux de la scène.
La dernière, et certainement notre favorite, est celle située dans les bois. Une ambiance de Club/Rave y est reproduite et cela donne une ambiance unique où nature et modernité s’entremêlent.
L’affiche du Paradise City, des djs issus de Boiler Room, HÖR et autres concepts de Rave !
En effet, l’organisation a misé sur des noms capables de gérer tout public, des plus avertis aux plus amateurs. Que ce soit en House, Techno ou breakbeat, le Paradise City Festival a fait appel à des artistes reconnus pour leur set aiguisé et unique.
Notre journée a débuté avec Bendrik en B2B Max Telaer qui ont délivré une House pointue et raffinée. Le public a répondu présent et le set était une parfaite mise en jambe pour ce voyage riche en musique !
Nous changeons de scène et nous arrivons à la mainstage sur laquelle Isabella délivre une House plus acide avec quelques influences Techno. Cette année, la scène principale est gérée par le collectif Gay Haze qui a offert un line-up pointu au message puissant de liberté.
Après une telle prestation, nous prenons la direction de la Micro Stage au design d’un chalet dans les bois. Ici, la House est mise de côté au profit de la Funk et du Disco. Avec les sets de Silver Sisters et de Jeroen Delodder, nous avons été bercés par les classiques avec parfois une pointe de French Touch !
Et si on faisait une rave dans les bois ? La Forest Stage du Paradise City Festival au rendez-vous !
Un plafond lumineux montant et descendant juste au-dessus du DJ et des arbres réfléchissant les jeux de lumière, c’est le design choisi par les organisateurs du Paradise City. Et là aussi, les artistes nous ont régalés. Avec Quest et Christian AB, la House a été à son climax avec un set vinyle de deux heures. Le public était aux anges, les sourires affichés et les BPMs étaient bons, quel moment musical !
Pour le closing de cette journée au Paradise City, nous avons choisi de le passer sur la scène live avec une performance incroyable de Christian Loffler. 1h30 de Techno/House pointue en live dont seul le maestro allemand a le secret. Quel closing, quelle clôture, quel concert !
Le Paradise City Festival porte bien son nom !
En effet, l’événement est comme une bulle dans un monde vaste. Tout n’est que bienveillance, musique de qualité, ouverture d’esprit et décors incroyables. Le lieu est inspirant et bucolique ce qui apporte une réelle plus-value au festival.
Un grand merci au Paradise City Festival et son staff pour l’invitation, pour cette édition riche en émotions et pour sa confiance !
Rendez-vous l’année prochaine !