
Constantijn Lange démarre l’année en trombe. Le producteur basé à Berlin dévoile son premier album studio Elysian Fields, disponible depuis le 18 janvier sur le label Laut & Luise.
Dans cet opus, on découvre 10 titres, avec en premier lieu « Horizon ». Cette petite intro pose d’entrée les bases avec des sonorités ambiantes et un petit bruit de cloche.
Le second morceau, « The Swell », monte plus progressivement avec des bruits de vagues qui s’écoulent, son synthé, son effet rotatif et ses petites percussions. Vient ensuite « Treetop Swing », avec une ambiance plus deep encore, des tambours léger aux allures tribales.
Le titre éponyme offre un paysage sonore à couper le souffle, calme, posé, envoûtant. Puis, l’album passe ensuite dans sa seconde phase avec « Cyanotype », où les sons naturels sont une nouvelle fois mis en avant. Le tout est soutenu par une ligne ambiante plus linéaire.
« Aerolite » et « Purple Crested Lourie » apportent des influences plus groovy et dansantes, grâce à un bon travail au niveau des synthés et de bonnes basses flottantes.
« Riss » amorce ensuite la dernière partie de l’opus avec une ligne ambiante, brève, accompagnée de plusieurs bruits d’animaux et des sons naturels.
L’immersion devient totale avec les deux dernières pépites mélodiques, « Dripstone Tales » et « That Romantic Scene ».
Elysian Fields offre à l’auditeur un large éventail de sons très complet, nous faisant admirer la qualité de production de l’artiste. Constantijn Lange conte une véritable histoire et nous invite à bourlinguer au rythme des pistes. À écouter absolument !