
Le 29 et 30 juillet dernier, se déroulait dans la commune de Montilly-sur-Noireau dans l’Orne, la première édition du festival organisé par le label Hardcore France, Eskape Festival. Retour sur ce nouvel événement Open Air de la Hard Music en France qui plus est, devient l’un des nouveaux rendez-vous ambitieux du genre !
VENDREDI 29 JUILLET
Nous arrivons aux alentours de 15h, et la première chose à noter est le cadre dans lequel se déroule le festival. Nous sommes en pleine campagne normande, avec un temps ensoleillé partiellement nuageux. Le terrain pour accueillir le site, le camping et même le parking ont été très bien choisis par les équipes. Les 3 emplacements sont d’ailleurs extrêmement proches.
Nous sommes arrivés à 17h dans l’enceinte du site, et les organisateurs nous ont concocté une mainstage qui se rapproche le plus possible de la nature, avec un décor vert feuillage et une structure en forme de temple derrière les platines. Le tout bien évidemment équipé de 100 KW de GSL de la marque d&b audiotechnik. Nous remarquons également qu’au niveau du public, celui-ci est de tout âge.

Passons dorénavant aux différents sets. Pour l’ouverture de cette première édition, c’est Kromysis du collectif Ipnotika Unit qui débute les hostilités. Le DJ met tout de suite dans l’ambiance avec un enchainement de missiles Raw comme celui-ci a l’habitude, dont le ravageur « Drop ‘Em Down » de D-Sturb et Malice. Le festival, à peine commencé, met déjà les fans de Hard Music dans l’ambiance. DJ Fou faisant office de MC durant tout le festival, n’hésite pas à ambiancer la foule dès le début sur la scène principale, et cela aussi bien pendant les sets qu’entre le passage des artistes. À 18h, c’est au tour de Vortek’s de prendre les commandes de la mainstage. Le Cherbourgeois attaque très fort avec un set mélangeant Raw, Tribe, Hard Techno et Acid Techno. Ses plus célèbres titres comme « Divinity » , « Break it Down » ou encore l’un de ses derniers titres « Secret Services » sont joués. Lors de son set, le soleil laisse place à la pluie pendant un peu plus d’une heure, mais n’arrête pas pour autant l’entrain du public. 19h, Vortek’s laisse la place à Mighty Spiritz, en compagnie de MC Wild Fox. Le producteur de chez Hardstyle France se donne toujours à fond sur scène, et c’est une véritable avalanche de kicks Raw et Xtra Raw qui déferle, avec à son habitude, entrecoupés de breaks Dubstep. Le public sur cette scène à ce moment là se montre de plus en plus imposant sur la mainstage, malgré la pluie toujours présente. Son set est composé en quasi-intégralité de ses titres , comme par exemple son remix de « Space Jam » , « Men In Bass » avec JKLL, « Empire of Sith » mais aussi de plusieurs IDs. Les tracks s’enchainent de manière efficace, et la diversité des kicks se fait sentir. Lors de son set, la pluie laisse à nouveau place à un temps ensoleillé.

Ce festival comprenant 2 scènes, nous sommes allés sur la scène Freestyle qui accueille les artistes dédiés aux musiques électroniques alternatives. Celle-ci se veut beaucoup plus minimaliste au niveau de sa décoration et de sa mise en scène, mais n’en demeure pas moins efficace notamment avec un puissant sound sytem de 50 KW de la marque VOID.
Lors de notre arrivée sur cette scène, c’est la DJ de Cherbourg et membre de Hardcore France aux platines, Mogcore. Le set a commencé depuis 19h30, et Mogcore jongle entre Hardcore newschool et oldschool. Nous avons le droit également à du Frenchcore pendant ce set avec des tracks comme « La Grande Embrouille » de Maissouille. Le public est certes plus restreint que sur la mainstage, mais est tout aussi enjoué et dynamique face au set ravageur de Mogcore.

Retour sur la mainstage à 20h pour assister au set d’une des figures de pointe du Rawstyle, Rooler. L’italien réputé pour son coté décalé et ravageur, nous confirme cette tendance avec un enchainement de tracks Raw et Xtra Raw toutes plus dantesques les unes que les autres. Beaucoup d’Edits de son duo avec Sickmode THE GANG sont envoyés, mais également des collaborations directes avec Sickmode, comme « Let The Bass Kick » ou « Too Cold » . D’autres titres notables sont lâchés par le DJ Italien comme « Domination » ou son très récent « Move 2 Da Beat« . Après cette déferlante de kicks Raw, Rooler finit son set sur du Hardcore, et même sur de l’Uptempo. Le public maintenant bien échauffé se montre de plus en plus présent et va assister au set d’une autre figure emblématique de la Hard Music italienne, AniMe. On passe dorénavant à la vitesse supérieure avec un début de set Hardcore qui ne laisse personne indifférent, notamment avec « Absolute Power » en collaboration avec Broken Minds. Viennent ensuite des titres comme son anthem de Masters Of Hardcore Austria « The Third Invasion« , sa dernière collaboration avec Miss K8 « Legacy » , « You Can Stop Me » de cette dernière ou son titre « Bam Bam » . La réaction du public est sans appel, celui-ci est tout simplement en folie lors de chaque kicks envoyés par l’Italienne. Pour couronner le tout, cette dernière termine son set avec l’excellentissime « Fine Night » .

La nuit tombe, et il est temps pour nous, dès 22h, de retourner sur la scène Freestyle avec cette fois-ci DICA, le prodige de l’Acid Techno. Le Rennais nous livre un live Acid maitrisé à la perfection, avec des titres comme « Death Dance » dès le début de son set. L’artiste enchaine les tracks sans aucun temps mort et nous joue même des titres de son dernier EP « Sorry For Your Neighbours » .

Retour sur la mainstage à 23h avec l’un des piliers de la scène Hardcore Française, Radium. Celui-ci nous délivre comme à son habitude un set de qualité mélangeant Hardcore et Frenchcore. La fusion entre les sons oldschool et newschool est menée sans faute par notre vétéran de la Hard Music, avec des titres comme « Gabber Madness » de Hysta. DJ Fou ne ménage pas ses efforts pour continuer son rôle de MC et continue d’ambiancer les festivaliers de manière efficace. Nous avons pu en même temps contempler la mainstage de nuit, et le moins qu’on puisse dire, est que Hardcore France n’a vraiment pas fait les choses à moitié pour la première édition de l’Eskape Festival. Que ce soit les jeux de lumières qui s’enchainent ou le temple en arrière plan toujours visible grâce à l’éclairage, cette scène principale de nuit est tout simplement sublime. À minuit, pour clôturer ce premier jour de l’Eskape Festival, c’est au DJ français Soulblast (dont vous pouvez retrouver l’interview ICI) qu’incombe la tâche de terminer la journée. Après une introduction avec Non je ne regrette rien d’Edith Piaf, Soulblast enchaine directement avec ce qu’il fait de mieux, à savoir nous envoyer une avalanche de kicks Uptempo. Tout le public est en folie et c’est une véritable déferlante de BPMs qui s’abat sur l’Eskape. Une tonne d’Edits Uptempo de plusieurs titres est envoyée par le DJ français, comme « Wild Spirit » de Devotion, « Reset » de Mad Dog ou même « Hot » de Inna. Soulblast n’hésite pas a augmenter la cadence au fur et à mesure pour monter à la toute fin dans les 400 bpm.

Le set de Soulblast étant terminé avec des festivaliers qui en redemandent, DJ Fou prend la parole pour remercier le public de ce premier jour, annonce sa fierté d’être le MC de cet événement et nous donne rendez-vous le lendemain pour le 2ème et dernier jour de l’Eskape Festival.
SAMEDI 30 JUILLET
Après une nuit assez mouvementée au camping, retour a l’Eskape Festival avec un temps beaucoup plus ensoleillé que la veille. Et cette fois-ci, les portes du site ouvrent à 13h pour cette journée du 30 juillet.
C’est donc Krykor, l’un des gagnants du DJ Contest de l’événement, qui débute cette 2ème journée sur la mainstage. Le Lyonnais envoie au public toujours aussi endiablé, de véritables classiques du Hardstyle comme « Cold Rocking » de The Prophet et Wildstylerz remixé par Gostosa, « FTS » de Showtek, « Natural » de Davide Sonar ou « Africa » de Tatanka. Celui-ci n’hésite pas entre chaque tracks à faire chanter la foule et les festivaliers répondent bien évidemment présents. À 14h, C’est au tour de Devotion, nouveau talent du Hardstyle, de prendre les commandes de la mainstage. Celui-ci est accompagné de Damien RK qui est chargé d’ambiancer le public. Devotion nous délivre un set Hardstyle Euphorique composé de morceaux comme le très connu « Blue » de Eiffel65 remixé par Team Blue, « Supersonic » de Demi Kanon, son titre NMSA, l’indémodable « Zombie » de Ran-D, « Intents Highscore » de Da Tweekaz et Warface, ou même « Wanna Stay » de D-Sturb. Celui-ci durant son set, alterne avec brio entre Hardstyle Euphorique et Rawstyle, comme avec « Go Stupid » de Sickmode. Damien RK en profite pour présenter la majorité des tracks que Devotion joue, dont des IDs, pour bien évidemment clôturer son set avec l’anthem de l’Eskape Festival qu’il a lui même composé, « Wild Spirit » .

Nous en profitons dès 15h pour retourner sur de la scène Freestyle où commence le set du talentueux Shadow Remigton. Probablement l’un des mixes les plus diversifiés jusqu’à présent, avec un début de set Psytrance, mais qui dérive rapidement vers du Rawstyle, du Dubstep et même de la Drum & Bass. Le DJ alterne avec efficacité les genres Psytrance et Hardstyle pendant une très bonne partie de son set, mais combine également d’autres styles et les enchainements font mouche, sans laisser de répit au public. Ce dernier est tout simplement déchainé. Sont envoyés par Shadow Remigton « Back & Forth » de Da Tweekaz, « Time Rift » de Unit, « Do It To It » de Sub Focus, ou même le très célèbre « Polkaholica » de Expuze & Narfos. L’artiste nous joue même des titres de son dernier EP comme « The Flute Song » . La fin de son set est bien plus orientée Frenchcore, avec « Enfants De La Rave » de Creeds et Helen ka, ainsi que « La Mort Avec Toi » de Billx. Vers 16h30, nous restons sur la scène Freestyle pour assister au live du phénoménal alien de Progressive Trance, Graviity. Dès le début, celui-ci nous entraine dans un voyage émotionnel avec « Transmutation« , l’un des titres de son dernier album. De plus en plus de personnes accourent pour assister à son set. L’enchainement se poursuit avec « Human Activity« , « Alien Teens From Outer Space« , « Terra Incognita » ou « Law of Attraction » . La grande faculté de Graviity est de savoir faire les transitions à la perfection entre ses machines live et ses guitares, mais également de varier de multiples genres en passant de la Trance au Hardstyle, ou du Dubstep au Frenchcore. Le moment le plus marquant de son set restera celui avec le classique connu de tous « Bohemian Rhapsody » de Queen combiné à son habituelle Psytrance qui fonctionne à merveille. L’artiste profite même de ressortir sa guitare pour faire la transition directe avec « TNT » de AC/DC. Enfin, nous avons le droit en fin de set au très bon « Hello » , encore l’un des titres de son dernier album REVOLUTION. Un live absolument magistral qui confirme le talent inégalable de l’alien, et qui de plus, d’après DJ Fou qui était sur cette scène à ce moment là, a eu le luxe d’attirer plus de monde que sur la scène principale.

Retour sur la mainstage à 18h où nous arrivons à la fin du set de Psyko Punkz pour assister à la performance d’un des mastodontes du Hardcore, Mad Dog. L’Italien ne fait absolument pas dans la dentelle et enchaine des morceaux sombres et puissants comme « The Missing Channel » , « Street Fighter » de Angerfist remixé par Audiofreq, « Shadows » de Evil Activities et Korsakoff, son anthem de Masters Of Hardcore « Magnus Opus« , ou encore son récent « The Beat« . C’est une véritable destruction de la mainstage qui se déroule sous nos yeux, et le public malgré la chaleur de cette journée est survitaminé. DJ Fou ne laisse pas la fatigue s’emparer de lui et continue son rôle de MC à la perfection. Enfin, nous avons le droit à la fin de son set, à une montée radicale en cadence avec de l’Uptempo. Dès 19h, au tour du mystérieux hollandais D-Fence de monter sur la mainstage. « Covid-19 » est le titre qui est envoyé dès le début de son set, mais le DJ masqué fait monter le rythme très rapidement, grâce à une alternance entre Hardcore, Uptempo et Frenchcore qui surprend de manière significative. Entre « Hardcore Bastards » en collaboration avec Tha Watcher, « Virgin » en collaboration avec GPF, « Das Boot » de Dr. Peacock et Sefa, ou son ravageur « Bass Till I Die » en collaboration avec DRS et Mr.Hyde, D-Fence est bien décidé à montrer sa puissance auprès du public de l’Eskape Festival. Ce dernier monte encore plus la cadence vers la fin de son set, et monte vers le genre Terrorcore.

Déjà 20h, et sur la mainstage, c’est l’heure du Normand Hour avec l’un des sets les plus attendus de l’Eskape Festival opposant 2 DJs emblématiques du label Hardcore France, à savoir Maissouille et Neko. Les hostilités commencent sur une intro Psytrance mais ces dernières dérivent très rapidement sur le style habituel des 2 DJs, le Frenchcore. Maissouille, boss du label Hardcore France et principal organisateur du festival, n’hésite pas à faire part de sa satisfaction sur l’Eskape et est bien décidé à lancer une 2ème édition l’année prochaine. Il en profite également pour remercier infiniment le public devant lui. Avec « Hadakoa » du duo, « Weed Song » de Tommyknocker et The Braindrillerz, « Life Is War » et « La Cucaracha » de Neko, « Enfants De La Rave » de Creeds et Helen Ka, « La Grande Embrouille » et « Frenchcore Cancan » de Maissouille, « Trip to Valhalla » de Dr. Peacock et « Valenkick » du duo emblématique de Hardcore France, c’est une véritable déferlante de missiles Frenchcore qui s’abat sur Montilly-sur-Noireau, et les 2 DJs n’hésitent pas à alterner chacun leur tour aux platines. L’ambiance sur la mainstage est a son apogée, au point que des structures gonflables sont lâchées sur le public. Encore une fois, la cadence monte très vite à la fin du set partant sur le titre Uptempo *Deathblow » de N-Vitral et Spitnoise. En tant qu’organisateur principal, Maissouille en a profité pour remercier les bénévoles et le maire de Montilly-Sur-Noireau sans qui ce festival n’aurait jamais vu le jour.

Après une pause de notre côté, nous sommes retournés sur la mainstage à 21h45 pour assister au set du producteur allemand signé chez Hardcore France, Mr. Bassmeister. Celui-ci a toujours montré dans ses productions un côté complétement décalé, et son set ne déroge pas à la règle. Le set est complétement délirant et survitaminé avec ses productions comme « Horny Or Hungry » en collaboration avec Radium, « Fuck You » de Masters Of Noise vs Sonic & D-Vstor, « Oh My Core » de Radium, sa récente collaboration avec Maissouille « Iron Dick » , et en fin de set avec « Fuck Corona » . Il est 22H30, la nuit tombe, et rien de mieux pour accueillir un autre pilier de la scène Hardcore française, à savoir Le Bask. Nous reconnaissons là le style sombre et efficace du DJ avec une alternance entre Frenchcore oldschool et newschool. Composé de « Shepper Armada » , « Synthesis » , « Trip To Romania » de Dr. Peacock et Floxytek, « My Frenchcore » , « Savageness » de La Teigne, ou encore « Domination » de Rooler remixé par Sefa, ce set Frenchcore délivré par Le Bask est d’une qualité irréprochable. Ce dernier change de ton avec « Khatiushaa » de Billx, « Rolling Paper » de Billx et Vandal, et enfin avec l’intervention de DJ Fou qui motive le public dans une ambiance aux allures de séance de sport.

23H15 et c’est l’heure des 2 derniers sets de l’Eskape Festival sur la mainstage. À noter d’ailleurs qu’il n’y a plus aucun set en cours sur la scène Freestyle depuis très exactement 20H. C’est donc le déjanté D-Frek, avant dernier artiste à se produire sur la mainstage, qui fait son entrée. Le début de set se fait avec « World Control » de Broken Minds et Ender, suivi d’autres titres Frenchcore aussi décalés que l’artiste lui même, comme sa collaboration avec Broken Minds « Wanderer« , ou ses collaborations avec Dr. Peacock « Drink » et « Ode to Madness » . Ce set Frenchcore aux allures Rock réussit à faire bouger les dernières foules du festival encore présentes. Damien RK en profite pendant son set pour animer les dernières heures du festival, et remercie le public pour leur énergie. Il est minuit, le closing du festival approche, et c’est le monstrueux Partyraiser qui est chargé d’accomplir cette mission. La réaction est absolument unanime. C’est un véritable carnage qui s’abat pour ce closing et les titres Uptempo s’enchainent. Entre « Trip To Holland » avec Dr. Peacock, plusieurs Uptempo Edits comme « Wake Me Up » ou « Les Lacs Du Connemara« , « Let’s Go » de MBK, « Krunk » de Equal2, et « Gabber Madness » de Hysta remixé par Brutal Theory, Partyraiser a clairement pour but d’achever le public de l’Eskape Festival. Lors d’un passage du titre « Payback » en Uptempo Edit, DJ Fou en a profité pour faire un hommage à l’artiste défunt qui a composé la track originale, à savoir Delete. La réaction du public face aux missiles envoyés par Partyraiser est sans appel. Vers 01h du matin, à la fin du set, le public en redemande, avec bien évidemment les encouragements de DJ Fou. Partyraiser annonce jouer 10min de plus et en profite pour dévoiler sa nouvelle production : « Hellboy« . C’est vers ces dernières minutes de set que toute l’équipe de Hardcore France se réunit sur le devant de la scène, et s’ambiance sur les derniers sons envoyés par le DJ hollandais.

Il est 1h10 et c’est la fin de cette première édition de l’Eskape Festival. Toute l’équipe de Hardcore France, ainsi que son boss Maissouille, remercient les bénévoles, les techniciens, le staff du label, à nouveau le Maire de Montilly-sur-Noireau et bien évidemment, tous les festivaliers ayant pris part à cette édition. Le boss du label nous donne rendez-vous l’année prochaine pour la seconde édition de l’Eskape Festival. Ce n’est pas loin de 5000 personnes qui ont assisté au premier festival de Hardcore France. D’autres membres du staff en profitent pour prendre la parole et exprimer leur satisfaction à organiser cet événement. Le grand final se termine par l’anthem du festival composé par Devotion, « Wild Spirit« , ainsi que toute l’équipe du label qui profite une dernière fois de la mainstage de cette édition, avec le public.

EN CONCLUSION :
Hardcore France a réussit le paris de hisser son événement majeur parmi les rendez-vous les plus importants de la Hard Music en France. Cette première édition de l’Eskape Festival nous a proposé un véritable plateau d’artistes digne des grands événements Hollandais, avec l’ambiance qui va avec, et le tout dans un cadre dépaysant situé en plein cœur de la Normandie. Côté scénographie, nous n’avons rien à redire, car pour une première édition, l’équipe du label a vraiment mis les moyens nécessaires. Nous remercions infiniment les organisateurs pour l’invitation à cette édition et pour tout ce qu’ils nous ont proposé. Nous avons hâte de prendre part à la seconde édition l’année prochaine et de voir les évolutions envisagées par l’Eskape Festival, qui a tous les atouts pour devenir une véritable référence en matière d’événementiels de la Hard Music en France.
3 réflexions sur “On y était : Eskape Festival, le nouveau rendez-vous ambitieux de la Hard Music en France !”